Première frayeur sur la route : Salim racont
À 27 ans, Salim, ancien éducateur sportif dans le basket, décide de se lancer dans une nouvelle aventure : le convoyage automobile.

Du terrain de basket à la route
Sur les conseils de son beau-frère, utilisateur satisfait de la plateforme, il s’inscrit sur Hiflow. “Avec mon métier, j’étais très sollicité, il y avait beaucoup de monde, je recherchais un peu de calme.” confie-t-il.
Les premières missions s’enchaînent et très vite, Salim y trouve un équilibre “Ça fait 4 mois que je fais ça et ça me plaît ! Je visite toute la France, c’est sympa. “ raconte-t-il.
Loin d’avoir tiré un trait sur le basket, il continue de jouer et d’entraîner une équipe à Orléans grâce à la flexibilité qu’offre Hiflow. « Je n’ai pas de préférence entre missions longues ou courtes, je fais en fonction de mes entraînements, c’est aussi ça l’avantage. »
Tout se passe bien depuis l’été : il apprécie particulièrement l’application facile d’utilisation, la réactivité de l’équipe, prend le pli sur les itinéraires, apprend à maîtriser la logistique et met un point d’honneur à livrer en temps et en heure. Jusqu’au jour où tout ne se déroula pas comme prévu…
Une nuit pas comme les autres
Salim effectuait un trajet Nîmes – Goussainville, une mission sur deux jours, de garage à garage. Il avait pris le train pour descendre dans le Sud et récupérer, dans l’après-midi, un petit camion de 20 m³. Il prévoyait de rouler de nuit, avec une pause à l’hôtel, pour livrer le véhicule à 8h le lendemain matin.
Tout se passait comme prévu. La nuit était tombée, Salim roulait tranquillement, musique en fond, quand soudain sur une petite route de campagne près de Vichy, une silhouette surgit de l’obscurité : un sanglier traversa la route. Le choc fut inévitable.
« Je n’ai même pas eu le temps de réagir, je vois le sanglier passer et c’était trop tard, je l’ai tapé », raconte-t-il. « J’ai eu de la chance d’être en 20 m³ parce qu’en voiture ça n’aurait pas été pareil je pense. »
Seul sur cette route sans éclairage, Salim garda son calme et suivit la procédure : « Heureusement j’avais déjà lu ce qu’il faut faire en cas d’accident, donc j’ai sécurisé le véhicule et appelé l’assistance », raconte-t-il.
La suite fut insolite : « L’assistance m’a demandé de prendre en photo le sanglier pour les preuves, il était à quelques mètres derrière, je l’ai pris avec mon flash de téléphone… depuis je me suis acheté une lampe torche ! » sourit-il.
Une heure plus tard, le remorquage était terminé. « L’assistance m’a pris en charge du garage à l’hôtel, le soir même elle m’avait envoyé les billets de train pour le retour, le lendemain je suis rentré à Orléans et il y avait même le taxi pour me ramener de la gare à chez moi. J’ai eu zéro question à me poser, Hiflow m’a envoyé un message dès le matin pour savoir comment ça allait, franchement sur l’organisation j’ai rien à dire », raconte-t-il satisfait.
Grâce à son sang-froid et à ses bons réflexes, Salim rentra sans encombre… avec une anecdote mémorable à raconter.
Les bons réflexes
Ce que Salim retient de cette histoire c’est l’importance de l’anticipation : « Rouler la nuit sur route, autoroute ou départemental, c’est toujours un risque. Je conseille d’avoir le numéro de l’assistance enregistré dans son téléphone pour éviter d’avoir à le rechercher quand ça arrive. C’était beaucoup plus simple pour moi de l’avoir direct. Toujours vérifier qu’il y a bien un gilet et un triangle dans le véhicule. Là heureusement que j’avais tout vérifié avant de prendre la route. » explique-t-il.
Au final, plus de peur que de mal pour Salim avec cette histoire qui lui a surtout rappelé l’importance de rester vigilant et de connaître les bons réflexes sur la route. Un grand merci à Salim pour son témoignage et son sang froid !
