Rencontre avec Wacim, le convoyeur de la 1 000 000ᵉ mission Hiflow

Les débuts dans le convoyage

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Au départ, faire du convoyage avec une plateforme peut sembler complexe. "Il faut avoir fait un minimum de missions pour passer les certifications et accéder à toutes les missions, on se pose des questions : comment arriver à l’heure ? Comment récupérer un véhicule à 800 kilomètres de chez soi ? La logistique, c’est pas facile quand on commence, il faut être aventurier !", se rappelle Wacim.

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Heureusement, Wacim a trouvé chez Hiflow un véritable soutien. "Pour moi Hiflow, c’est la meilleure plateforme. Ils ont un très bon service d’assistance. Quand on a des soucis pour récupérer un véhicule ou sur la route, l’équipe nous prend bien en main, il y a toujours quelqu’un pour nous rassurer et nous faciliter la vie. Je suis bien traité et je n’ai rien à dire sur l’application mobile", explique-t-il.

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Avec le temps et l’expérience, ce qui semblait difficile au début se transforme en réel potentiel. "Il faut persévérer et ne pas abandonner trop vite. Au début, on pense qu’on ne pourra pas en vivre, mais quand on commence à connaître le métier, c’est très bien.", conclut-il.

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Son organisation : la boucle longue distance

Pour Wacim, il y a 2 façons de travailler dans le convoyage : faire des missions courtes toute la semaine ou faire des missions longues sur quelques jours. "Moi je fais 98% de missions longues distances." sourie-t-il.  

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La planification est essentielle : "Je pose plusieurs devis et, dès qu’un est accepté, je construis ma boucle autour. Mon objectif, c’est de minimiser les trajets en train entre deux missions, et de rentrer chez moi à la fin. Un Lyon-Lille, Lille-Bordeaux, Bordeaux-Montpellier, Montpellier-Lyon, c’est une mission parfaite. Si je termine par Toulouse, je suis moins content ! " plaisante-t-il.

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Ce qui lui plaît dans ce métier, c’est autant le voyage que le défi. "J’aime la conduite, acheminer le véhicule et arriver en temps et en heure pour satisfaire le client !". dit-il. Le convoyage demande aussi un vrai sens du contact : "On croit qu’on est tout seul dans une voiture, mais en fait on rencontre beaucoup de monde : les vendeurs, les clients… Il faut être très sociable", constate-t-il. "En ambulance, on porte beaucoup de charge, de gens en détresse alors que dans le convoyage c’est des gens en bonne santé et content de recevoir leur voiture, c’est différent". 

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L’opération spéciale : la 1 000 000ᵉ mission Hiflow

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Le 18 août dernier, Hiflow a franchi une étape symbolique : sa 1 000 000ᵉ livraison.
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Pour marquer l’événement, l’équipe a mis Wacim dans la confidence et lui a confié une mission un peu particulière.

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Ce matin-là, il a pris en charge un véhicule d’occasion bien entretenu dans le garage VPN Auto de Villefranche-sur-Saône. Après avoir quitté la région lyonnaise, il a parcouru sans encombre près de 500 kilomètres, traversant la France jusqu’à un village paisible non loin de Niort.

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À l’arrivée, il a présenté son nouveau véhicule de fonction à la cliente, effectué la mise en main puis sortit sa surprise : une bouteille de champagne pour célébrer le 1 000 000ᵉ véhicule livré !

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La scène a pris une tournure encore plus particulière : c’était le jour de l’anniversaire de la cliente. "Elle était vraiment surprise et contente. On a signé les papiers, son fils a pris une photo de nous deux et elle m’a confié qu’elle allait ouvrir la bouteille le soir avec ses amis", se souvient Wacim. Pour lui, "c’est une opération réussie, la surprise était parfaite".

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Un grand merci à Wacim pour son engagement, sa confiance et d’avoir rendu cette opération possible.