Rencontre avec Eliess : son lancement dans le convoyage

Devenir auto-entrepreneur : un premier pas simple

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S’il appréhendait un peu au départ, il a vite découvert que les démarches étaient bien plus simples que prévu : « Ce qui fait peur au début, c'est de se lancer en auto-entrepreneur par rapport à l'URSSAF, les déclarations… mais honnêtement, c'est très simple une fois qu'on a accès au site auto-entrepreneur URSSAF.», raconte-t-il.

Côté gestion, Hiflow facilite encore les choses : la plateforme émet directement les factures correspondant aux devis validés et règle les paiements tous les 15 jours, ce qui simplifie considérablement sa comptabilité.

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Sa stratégie pour rentabiliser ses missions

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Eliess optimise ses missions en travaillant principalement pour trois clients, avec des départs ou arrivées proches de chez lui et des destinations faciles d’accès en train et trottinette. « Au début, on est un peu perdu quand une mission tombe. On ne sait pas forcément comment y aller, on prend des missions pas forcément rentables. Et au fil du temps, on apprend. » explique-t-il.

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Pour lui, il est important que le lieu de prise en charge ou restitution du véhicule soit à 10km maximum d’une gare pour y accéder en trottinette. « Par exemple, je travaille pour un client qui est à 5 minutes de chez moi en voiture. Le matin, je me gare au plus près entre la gare et le client. Je vais prendre mon train avec ma trottinette, puis le métro jusqu'à Gare du Nord pour prendre mon TGV. En rentrant, je livre le véhicule au client et après j'ai 2 minutes en trottinette pour aller récupérer ma voiture et rentrer chez moi.» raconte-t-il.
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Construire la confiance avec les clients et Hiflow

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En travaillant régulièrement pour un petit nombre de clients professionnels, Eliess a pu construire une relation de confiance avec eux et maîtriser leurs process. « Petit à petit, on crée un lien de confiance avec le client, il sait que j'ai remis le carburant au niveau, que j’ai pris soin du véhicule comme si c'était le mien, que je sais remplir les papiers rapidement », explique-t-il.

Il accorde également de l’importance à la relation avec le client final et le sens du service : « l’autre jour, j’ai pris des moucherons sur la route et même si dans le processus du client il n’y avait pas de lavage extérieur, je l’ai fait et je l’ai offert au client, c’est pas grand chose et ça fait la différence. » explique-t-il. 

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Il a aussi remarqué que les clients étaient difficilement joignables par téléphone « J'aime bien prendre contact avec le client par SMS. Je me présente, je leur explique que je suis le convoyeur chargé de la prise en charge de son véhicule avec une formule de politesse, et il me rappelle dès qu’il est disponible. » explique-t-il. 

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En cas d’imprévus, il a le réflexe de prévenir Hiflow et de bien communiquer avec les équipes. « L’autre fois, il y eu des retards avec la SNCF, j'ai contacté la ligne d'urgence Hiflow pour les prévenir. C’est important d’avoir des échanges professionnels et cordiaux avec l’équipe. » explique-t-il.

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Conduire des véhicules électriques pour la première fois

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Au début, Eliess n’était pas rassuré à l’idée de livrer des véhicules électriques : « Je n’avais jamais conduit d’électrique avant Hiflow et j’avais peur de l’inconnu : comment je fais à la borne de recharge ? comment je paye ? est-ce que je dois utiliser le câble qui est dans la voiture ? est-ce que si j’allume le chauffage ou je branche mon téléphone ça va trop consommer ?».

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Mais dès les premières missions, il a rapidement pris confiance. Aujourd’hui, il préfère même les véhicules électriques aux thermiques.

Les trajets sont plus agréables grâce aux pauses de recharge qui offrent l’occasion de discuter avec d’autres conducteurs :  « les charges prennent maximum 30 minutes, on peut prendre un café, discuter avec les gens à la borne d’à côté, échanger des conseils. Les gens viennent vous voir parce que la voiture est belle, on explique notre métier et on devient même parfois recruteur pour Hiflow! » sourit-il.

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En plus, les missions électriques réservent parfois de belles surprises : « Elles sont souvent mieux rémunérées et j’ai pu découvrir des modèles chinois comme BYD, avec des technologies impressionnantes. » explique-t-il.

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Les essentiels sur la route

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Pour bien gérer ses missions, Eliess s’appuie sur plusieurs outils et accessoires clés :

• Sa trottinette, « l’essentiel du convoyeur » selon lui
• Une pochette de documents avec tous les papiers qu’il imprime le dimanche soir
• Un sac, contenant chargeurs, batteries externes, gilets jaunes, chaussures de sécurité, et quelques encas pour tenir la journée.
  
  

Côté applications mobiles, il recommande :

• SNCF Connect ou Trainline pour les trajets en train
• Essence & CO pour comparer les prix des carburants et repérer les stations les plus proches, avec des mises à jour fréquentes des tarifs
• Waze, indispensable pour ajuster son itinéraire en temps réel, choisir les routes avec le péage le moins cher ou privilégier les nationales.
  
  

Enfin, l’application Hiflow Partner et son Indicateur Qualité sont des alliés essentiels, permettant à Eliess de suivre ses performances. « Si j’ai 10/10 ça veut dire que la satisfaction client elle est là, c'est gratifiant » sourit-il.

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Son modèle préféré

Eliess garde un excellent souvenir d’une Alfa Romeo Tonale. « C’était pendant les opérations Nestlé, où on reprenait les véhicules des commerciaux. J’ai livré au client une Alfa Romeo Tonale toute neuve, à 0 km. Franchement, j’ai adoré ce véhicule. Puis j’ai récupéré l’Arkana du client. Avec la Tonale, j’ai fait à peine 130 km, et avec l’Arkana, j’ai dû faire 430 km. J’aurais préféré que ce soit l’inverse ! » plaisante-t-il.

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Un grand merci à Eliess pour son témoignage et son attention à la qualité des livraisons effectuées au quotidien. 

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